Vous êtes ici parce que vous écrivez des histoires (peu importe sous quelle forme). Une activité fascinante, parfois merveilleuse, parfois frustrante.
Vous n’avez pas besoin de moi pour écrire. Vous êtes ici parce que vous voulez écrire mieux. C’est ce que je recherche aussi de mon côté. On n’a jamais fini d’apprendre à écrire.
Vous voulez aiguiser votre talent, en général. Ou vous avez un texte, en particulier, que vous cherchez à élever à son plein potentiel.
J’aimerais bien vous donner un coup main. J’offre des ateliers. Je peux aussi travailler avec vous, individuellement, sur un projet précis. Vous vous demandez à qui vous avez affaire? Jetez un coup d’oeil à ma bio sur la page d’accueil. Ou visitez mon site d’auteur (ericgauthier.net): vous pouvez y lire et écouter certaines de mes histoires, et découvrir la liste de mes publications et des prix qu’elles ont remportés.
Parlons ici de ce que je peux vous apporter.
Ce dont vous bénéficiez
Il peut être difficile de choisir à qui faire appel. Pour vous aider, voici en quoi je me démarque:
esprit d’analyse
Dans une autre vie, j’étais informaticien. J’ai appris à faire le tour d’un problème sous tous les angles. À penser en termes de structure. À résoudre des problèmes. (Et à passer beaucoup trop d’heures à taper sur un clavier.) Il s’avère que bon nombre des compétences ainsi développées s’appliquent aussi à l’écriture. J’ai appris à évaluer une histoire sous de nombreux aspects, à analyser son fonctionnement, à identifier ce qui ne tourne pas rond. Si je peux le faire pour moi, je peux le faire pour vous.
attention au détail
Je ne vais pas corriger vos participes passés, mais je vais remarquer même les petites irrégularités dans la logique de vos histoires, les tournures ambiguës, tous ces grains de sable qui peuvent devenir des irritants dans l’esprit du lecteur. Les résonances, aussi, entre votre texte et d’autres, dont vous gagneriez à prendre conscience pour les exploiter ou les éviter. Même quand je lis pour me divertir, je ne peux m’empêcher de remarquer. Ça me fait damner parfois, mais ça peut vous être utile.
expérience pratique variée
J’ai toujours aimé les histoires et il y a longtemps que j’en raconte. Mes nombreuses heures passées à conter m’ont permis d’étudier de près comment les gens réagissent aux histoires. Mes romans, recueils de contes et nouvelles m’ont amené à relever une variété de défis. En tant que créateur à temps plein, je baigne dans l’écriture à longueur d’année: je mange de la narration, je rêve en paragraphes. Et plus j’offre d’ateliers, plus j’approfondis mes réflexions et plus je trouve les moyens de vous transmettre mon expérience.
vision unique
Comme tout écrivain, j’ai une vision qui m’est propre. Ce que j’écris relève surtout des littératures de l’imaginaire: si c’est aussi ce que vous écrivez, sachez que je suis prêt à plonger à fond dans les univers que vous me proposerez. Si ce n’est pas votre genre: sachez que je lis des oeuvres aussi variées que possible pour apprendre d’une foule d’auteurs très différents, et parce qu’une bonne histoire est une bonne histoire. Peu importe le genre, je me soucie de l’authenticité des personnages, de la beauté ou l’efficacité du style… et j’aime approcher les choses par un angle inusité, dans mes écrits comme ailleurs.
Mon approche
Qu’il s’agisse d’offrir des ateliers, des conseils ou de la critique, j’ai tendance à suivre ces principes:
offrir des possibilités
Écrire, c’est effectuer une série de choix, et il y a rarement un choix qui soit le seul, l’unique, le bon choix absolu. Quel temps de verbe utiliser? Quel degré de détail offrir au lecteur? Pour vous aider, j’aime vous amener à prendre conscience des multiples approches possibles, puis vous donner des pistes pour effectuer votre propre choix.
considérer la structure
Quand on se donne le recul nécessaire pour s’offrir une vue d’ensemble de son histoire, on en découvre la forme. On peut déterminer si elle est déséquilibrée: si, par exemple, le dénouement est trop court comparé au reste, ou si les intrigues secondaires interfèrent les unes avec les autres. On peut mieux comprendre comment l’histoire s’articule, et trouver comment la renforcer. Quand on parle de fiction, la mécanique n’est pas l’antithèse de l’âme: on se soucie de la mécanique pour qu’elle porte l’âme le mieux possible.
explorer et expérimenter
Pour écrire, on gagne à cultiver sa curiosité. On gagne à explorer, à s’exercer à écrire dans divers styles, à essayer ce qui ne nous vient pas spontanément, au cas où l’on apprendrait ainsi quelque chose d’utile. On gagne à expérimenter: souvent, la meilleure manière de savoir si une approche est valable, c’est encore de l’essayer pour voir si ça marche.
penser au lecteur
On écrit d’abord pour soi, mais si on veut être lu, aussi bien réfléchir à la manière dont le lecteur recevra notre histoire. Lors de la révision, surtout, on peut anticiper comment notre texte piquera la curiosité du lecteur, ou le rebutera, ou le laissera perplexe… et on peut alors ajuster le texte, pendant qu’il en est encore temps, de manière à donner au lecteur le goût de poursuivre sa lecture.
Voilà: j’espère que ça vous situe. Si vous avez envie de travailler avec moi, pourquoi ne pas vous offrir une consultation ou une analyse de texte? ou obtenir mes conseils pour une demande de bourse? Et pour travailler en groupe, jetez un coup d’oeil à la liste des prochains ateliers. Si vous avez des questions, je suis à portée de courriel. Et revenez voir le site: j’y ajouterai de temps à autres des textes sur l’écriture, les histoires, le métier d’écrivain.